Ce début d'année 2014 a été marquée par NOTRE PREMIÈRE SOIRÉE AU NUMÉRO 16 (chez nous, quoi).
Ici, le principe du repas partagé est très courant : chacun apporte un plat et on le met sur une table commune (pareil pour les boissons : en Australie, tu amènes ce que tu bois, surtout quand c'est de l'alcool - cher ici). Le bon côté, c'est qu'on découvre les spécialités de plein de personnes différentes, et c'est un bon briseur de glace dans la conversation : "trop bon ton ragout de queues de grenouille! tu as mis quoi dedans ?!".
Au programme donc, après le buffet-diner partagé, ce fut : anniversaire de Jake (le grand dadais à droite de la photo, un des meilleurs amis de Mike, du haut de ses presque 2m de hauteur), puis "jamming", c'est à dire concert improvisé où tous ceux qui veulent jouer entrent dans la danse. J'ai moi même fait un peu de djembé. Notre "deck" (terrasse, pont de bateau) abrité s'y prête particulièrement bien.
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Dans un autre registre, c'était les 25 ans de Dina, notre amie australienne ayant fait le même visa que moi pour son chéri français, Julien. Un jeune couple très sympa, avec qui on s'entend très bien. Ils habitent Brisbane, dans un quartier sympa ; je dors parfois chez eux quand je reste la nuit à Brisbane et on aime aller à des projections ensemble.
Pique-nique-anniversaire donc, au mont Coot-tha, en plein coeur de Brisbane.
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Nous sommes le 23 février alors que je vous écris.
La saison pluvieuse aurait dû commencer en janvier ; elle semble tout juste pointer le bout de son nez. Comme une impression de saison qui change dans l'air.
La saison des mangues, qui s'est étalée sur des semaines, est finie : adieu à nos délicieux smoothies du matin (recette pour ceux intéressés : mangues, un peu de lait entier, 2 cuillères de poudre protéinée naturelle, une cuillère de yaourt - et j'ajoute aussi du LSA, comme ils disent ici, à traduire par "Lin, Sunflower, Almond : poudre d'amande, de graines de lin et de graines de tournesol). Avec ça, on tient jusqu'au déjeuner si on n'a pas trop d'exercice à faire dans la matinée.
Nous avançons doucement vers la réalisation de notre jardin potager : on a désherbé, acheté du compost de champignon (engrais) + notre compost fait maison qui fermente dans le jardin depuis des mois + du crottin de cheval séché.
"Le secret pour ne pas avoir d'insectes intrusifs et avoir de beaux légumes, c'est un bon sol plein de nutriments".
On fait de notre mieux.
On est pas encore tout à fait fixé sur le design du potager pour se lancer, mais ça avance doucement...
Nous avons un woofer italien, Eros, moitié des pouilles, moitié sicilien (quel mélange!), qui a en plus la bonne idée d'être chef cuisinier... On a bien l'intention de lui demander de nous montrer comment il fait ses pates fraiches et arancini !
Enfin, et non des moindres, j'ai reçu mon BRIDGING VISA, qui me permet de ne pas devoir sortir d'Australie en attendant la décision sur ma candidature de visa de concubinage avec Mike.
A partir de fin mars, je pourrai donc travailler avec ce visa là.
Voilà pour plus de nouvelles, après de longues semaines de silence.
Ici, le principe du repas partagé est très courant : chacun apporte un plat et on le met sur une table commune (pareil pour les boissons : en Australie, tu amènes ce que tu bois, surtout quand c'est de l'alcool - cher ici). Le bon côté, c'est qu'on découvre les spécialités de plein de personnes différentes, et c'est un bon briseur de glace dans la conversation : "trop bon ton ragout de queues de grenouille! tu as mis quoi dedans ?!".
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| et voilà ce que ça donne (en flouté) |
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Dans un autre registre, c'était les 25 ans de Dina, notre amie australienne ayant fait le même visa que moi pour son chéri français, Julien. Un jeune couple très sympa, avec qui on s'entend très bien. Ils habitent Brisbane, dans un quartier sympa ; je dors parfois chez eux quand je reste la nuit à Brisbane et on aime aller à des projections ensemble.
Pique-nique-anniversaire donc, au mont Coot-tha, en plein coeur de Brisbane.
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| Julien, à gauche, et un de ses amis français... et l'agneau au barbecue (trop bon) - ah oui, car j'oubliais de préciser qu'il y a des barbecues à dispo dans ce parc national en plein coeur de Brisbane |
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| tourtereaux dans la foule |
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| la reine de la journée, Dina, et son clafoutis aux mangues caramélisées (petit ami français oblige! à la sauce australienne avec les mangues, tout de même) |
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| Mike, Julien, Maki (une japonaise amie de Dina, à qui j'ai donné des cours de français), Dina et une de ses copines indiennes |
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Nous sommes le 23 février alors que je vous écris.
La saison pluvieuse aurait dû commencer en janvier ; elle semble tout juste pointer le bout de son nez. Comme une impression de saison qui change dans l'air.
La saison des mangues, qui s'est étalée sur des semaines, est finie : adieu à nos délicieux smoothies du matin (recette pour ceux intéressés : mangues, un peu de lait entier, 2 cuillères de poudre protéinée naturelle, une cuillère de yaourt - et j'ajoute aussi du LSA, comme ils disent ici, à traduire par "Lin, Sunflower, Almond : poudre d'amande, de graines de lin et de graines de tournesol). Avec ça, on tient jusqu'au déjeuner si on n'a pas trop d'exercice à faire dans la matinée.
Nous avançons doucement vers la réalisation de notre jardin potager : on a désherbé, acheté du compost de champignon (engrais) + notre compost fait maison qui fermente dans le jardin depuis des mois + du crottin de cheval séché.
"Le secret pour ne pas avoir d'insectes intrusifs et avoir de beaux légumes, c'est un bon sol plein de nutriments".
On fait de notre mieux.
On est pas encore tout à fait fixé sur le design du potager pour se lancer, mais ça avance doucement...
Nous avons un woofer italien, Eros, moitié des pouilles, moitié sicilien (quel mélange!), qui a en plus la bonne idée d'être chef cuisinier... On a bien l'intention de lui demander de nous montrer comment il fait ses pates fraiches et arancini !
Enfin, et non des moindres, j'ai reçu mon BRIDGING VISA, qui me permet de ne pas devoir sortir d'Australie en attendant la décision sur ma candidature de visa de concubinage avec Mike.
A partir de fin mars, je pourrai donc travailler avec ce visa là.
Voilà pour plus de nouvelles, après de longues semaines de silence.
